Webinaire / Quel avenir pour le Hirak ?
![](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2022/01/Webinaire-Hamadouche-et-Djabi-DEF-1-1-1024x576.jpg)
Dans le cadre du Cycle consacré au Hirak algérien, voici le troisième RDV autour du thème : Quel avenir pour le Hirak algérien, le µ15 février 2022 à 18h30
Projection-Débat / « Chroniques algériennes » : un regard poétique sur le Hirak
![Visuel Carré Chroniques algériennes](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2022/01/visuel-Carre-Zak-Kedzi-DEF-1024x576.jpg)
Projection du film de Zak Kedzi, suivie d’un débat avec le réalisateur et avec Gaëlle Hemeury, chercheuse, le 8 février dans le cadre du Cycle consacré au Hirak.
Cycle de conférences autour du Hirak
![Visuel Cycle Hirak](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2022/01/Cycle-visuel-v7-1024x576.jpg)
Cycle de 3 événements consacrés au Hirak, à l’occasion de son troisième anniversaire.
Webinaire / La jeunesse des quartiers populaires et les pratiques ambivalentes de la contestation au début du Hirak
![Webinaire Laurence Dufresne Aubertin](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2022/01/Webinaire-Laurence-1024x576.png)
Dans le cadre du cycle consacré au Hirak algérien, le premier RDV sur « La jeunesse des quartiers populaires et les pratiques ambivalentes de la contestation au début du Hirak » avec Laurence Dufresne-Aubertin, le 3 février 2022 à 18h30.
Soirée & webinaire 61 / L’art public en Algérie : un outil de requalification urbaine et de réhabilitation citoyenne
![](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2021/11/webinaire-visuel-Gaelle-Hemeury-presentiel-1024x576.jpg)
Ayant observé la scène artistique urbaine algérienne à partir du milieu des années 2010, Gaëlle Hemeury aborde la ville comme lieu témoin et terrain d’expression de la société civile.
Du Hirak aux élections : un bilan de l’année 2019 en Algérie
![Manifestations_Algérie](https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2020/05/wallpaperflare.com_wallpaper-1024x576.jpg)
Le présent rapport dresse un bilan de ce mouvement populaire dans son rapport à l’Etat, notamment aux trois institutions-clés du pouvoir en Algérie : la présidence de la République, l’armée et les services de renseignement. Mais aussi dans ses rapports aux différentes forces politiques et sociales (quel rôle ont-elles joué dans le Hirak ? Quelles pressions sont-elles susceptibles d’exercer sur le pouvoir à l’avenir pour influencer sa politique ?), au contexte économique dans lequel le mouvement populaire a vu le jour et s’est développé, à la question Amazighe que le pouvoir a cherché à instrumentaliser et enfin aux acteurs internationaux alors que les grandes puissances ont adopté une position commune consistant à ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de l’Algérie.