Livre : l’Union européenne et la région arabe
Recension de l’ouvrage d’Ahmed Qasem Hussein, par Yasmine Ben Ammar
Recension de l’ouvrage d’Ahmed Qasem Hussein, par Yasmine Ben Ammar
Webinaire avec Daniel Meier le 12 mai 2022 à 18h30 sur les espaces interstitiels dans les régions frontalières au Moyen-Orient.
Par Matthieu Rey – Le présent papier entend montrer comment, autour des pratiques et des discours relevant du « populisme », des traditions sont « inventées » en relations internationales faisant que de nouveaux lieux s’imposent comme des points de passage ou des références incontournables au Nord.
C’est la fin d’un monde géopolitique que nous présente Bertrand Badie, professeur émérite des universités à Sciences Po Paris. Il définit dans cet entretien le nouveau concept « d’inter-socialités », plus adéquat, selon lui, pour rendre compte du réel des relations internationales contemporaines, menées non plus par le politique mais par les questions sociales.
Par Salam Kawakibi – Les Libanais ne s’y sont pas trompés : même pour les moins sceptiques d’entre eux, la France n’est pas fidèle aux promesses faites par son président au Liban après l’explosion qui a ravagé le port de Beyrouth le 4 août dernier.
Dans le cadre des « Soirées du CAREP Paris », nous avons eu le plaisir d’accueillir François Burgat pour un débat sur le thème : La France face à la « radicalisation », le 18 octobre 2019.
Le 15 août 2019, le gouvernement israélien a décidé, sur incitation du président américain Donald Trump, d’interdire à deux élues démocrates à la Chambre des représentants, Rashida Tlaib et Ilhan Omar, l’accès aux Territoires palestiniens occupés et à l’État hébreu au motif qu’elles soutenaient le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) et contribuaient ainsi à délégitimer l’existence de l’État d’Israël.
Le 19 juillet 2019, des unités de la marine iranienne ont arraisonné un pétrolier battant pavillon britannique en mer d’Oman et l’ont conduit vers le nord, au port de Bandar Abbas, pour l’y retenir avec l’équipage.
Par Julien Théron – La Russie apparaît régulièrement comme la grande gagnante du conflit en Syrie. Des opérations militaires aériennes à la police militaire tchétchène en passant par ses forces spéciales, Moscou semble être devenu le maître du pays.
À l’aube des élections européennes, le continent est saisi d’un intérêt particulier pour un scrutin dont la participation est pourtant historiquement faible. Il n’y a toutefois rien d’étonnant à cela, car depuis quelques années, le Vieux Continent est caractérisé par une montée en puissance de sujets transétatiques qui unifient autant la politique européenne qu’ils transforment la structure des forces en présence.