La radicalisation des jeunes filles au Maroc
La présente étude expose les résultats d’une recherche empirique portant sur le processus de radicalisation religieuse chez les jeunes filles au Maroc, ainsi que sur les stratégies de polarisation employées par les groupes radicalisés.
Migrations et sociétés arabes
Compte rendu synthétique des discussions qui ont eu lieu durant les sept tables ronde du Cycle « Migrations et sociétés arabes », organisé par le CAREP Paris entre oct. 2023 et avril 2024.
La crise de l’État en Tunisie
Papier faisant partie du Dossier : « Les transformations de l État dans le monde arabe ».
La radicalité violente des jeunes à l’ère du numérique dans le contexte marocain
Cette étude cherche à comprendre comment les jeunes issus de diverses communautés appréhendent et interprètent l’extrémisme violent, en relation avec les politiques publiques, les ordres culturels, socio-économiques et idéologiques, à travers l’utilisation des outils numériques
Genèse idéologique et contextuelle de la radicalité violente au sein l’islamisme marocain :
Dans le cadre du dossier : « Repenser la radicalité en Afrique du Nord » Programme Conneckt Meknès (Université de Meknès/Carep Paris).
Comprendre l’extrémisme violent dans le contexte marocain
Papier de recherche rédigé dans le cadre du dossier : « Repenser la radicalité en Afrique du Nord ». Programme Conneckt Meknès (Université de Meknès/Carep Paris).
L’extrémisme violent dans les pays du Maghreb :
Dans le cadre du dossier : « Repenser la radicalité en Afrique du Nord », Programme Conneckt Meknès.
Le Maghreb, ce « grand Autre », si proche
Résumé de la conférence donnée au CAREP le 7 mars 2024 autour de l’ouvrage : Les Empires berbères : constructions et déconstructions d’un objet historiographique, éditions de Gruyter, mars 2024.
Le nord du Maroc dans l’accélération de la mondialisation
Journée d’étude, le jeudi 4 avril de 9h30 à 20h20, en présentiel et en visioconférence.
La religion dans la Constitution tunisienne de 2022 :
Selon l’article 5 de la nouvelle Constitution, la responsabilité de « la réalisation des finalités de l’islam authentique » incombe désormais à l’État. Cela vaut-il une redéfinition de la place de la religion et de ses rapports à l’État ? S’agit-il d’une accentuation de la mainmise de l’État sur la religion ou plutôt d’une islamisation de l’État ?