Jasmin

Tunisie : le jasmin ne doit pas se faner

Par Álvaro de Vasconcelos – Lorsque, le 25 juillet en Tunisie, le président Kaïs Saïd a orchestré ce qui était, de fait, un coup d’État, le message était clair : le populisme autocratique est une menace sérieuse pour la démocratie. Mais ne nous faisons pas d’illusions, l’avenir de nos démocraties est également en jeu.

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Coup d’État constitutionnel en Tunisie : l’échec d’une transition démocratique ?

Par Isabel Ruck – L’annonce du président, qui s’est arrogé le droit de diriger le pouvoir exécutif, a provoqué de fortes mobilisations dans une société civile tunisienne, déjà très clivée. Alors que les slogans contre la politique du parti islamiste, Ennahda, affluent dans les rues, le camp adverse n’était pas en reste pour dénoncer la politique du président et sa « clique », criant au « coup d’État ».

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Et s’ils avaient crié « Mort aux juifs » ?

Par Dominique Vidal – « Mort aux Arabes ! Jérusalem est à nous ! » Ces cris ont retenti durant plusieurs nuits, en plein Ramadan, de la Porte de Damas de la vieille ville jusqu’au quartier palestinien de Sheikh Jarrah. Rameutés par WhatsApp, qui les appelait à « leur casser la figure, les enterrer vivants » et les invitait à venir armés, des centaines de jeunes hurlaient leur racisme.

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Michel Kilo

Adieu Michel Kilo…

Par Racha Abazied – Le matin du 19 avril 2021 décédait à Paris des suites de la COVID-19, Michel Kilo, une grande figure de l’opposition syrienne. Écrivain, journaliste et pacifiste convaincu, Michel Kilo était avant tout un homme politique qui a consacré sa vie à lutter pour la démocratie et qui espérait voir naître un jour sur le sol Syrien un État libre, inclusif, respectant le pluralisme et les droits de l’homme.

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Ill._voile_France

Sur le voile, il est urgent de rouvrir les portes de l’interprétation

Par Claire Talon – « La première chose que l’indigène apprend, c’est à rester à sa place, à ne pas dépasser les limites. » écrivait Frantz Fanon. On est frappé, au regard de l’agression de la vice-présidente de l’UNEF par des élus LR et LREM qui ont demandé son exclusion d’une session de travail de l’Assemblée au motif qu’elle portait un voile, de ne pas voir un tel acte qualifié pour ce qu’il est : un pur geste de violence coloniale.

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