Redistribution de l’accès à l’eau en Afrique du Nord et au Moyen-Orient : quel impact sur les agricultures familiales ?
Par François Molle – Journée d’étude du 24 juin 2021, « Eau et agriculture dans le monde arabe »
Par François Molle – Journée d’étude du 24 juin 2021, « Eau et agriculture dans le monde arabe »
Par Abdelali Hamidine – Tout observateur des élections législatives, régionales et collectives, qui se sont déroulées au Maroc le 8 septembre 2021, ne peut que constater avec étonnement et grande surprise la chute retentissante du Parti de la justice et du développement (PJD) après une trajectoire ascendante dans l’institution législative du Maroc depuis sa première participation officielle à des élections en 1997.
Contrairement à d’autres pouvoirs de la région, le régime marocain résiste aux soubresauts des printemps arabes. Cette résilience est le résultat de différents stratégies mises en œuvre par le pouvoir politique marocain sur lesquels revient Aboubakr Jamaï lors de ce webinaire.
Dans le cadre des webinaires du CAREP Paris, le 22e volet est consacré au thème : « Le livre au Maroc : un luxe ? », avec Kenza Sefrioui, éditrice et critique littéraire.
À l’aube des élections européennes, le continent est saisi d’un intérêt particulier pour un scrutin dont la participation est pourtant historiquement faible. Il n’y a toutefois rien d’étonnant à cela, car depuis quelques années, le Vieux Continent est caractérisé par une montée en puissance de sujets transétatiques qui unifient autant la politique européenne qu’ils transforment la structure des forces en présence.
De par sa situation géographique, ouverte sur des mondes divers et variés, il a toujours été un carrefour de civilisations et de religions, au premier rang desquelles figurent les trois religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l’islam. Dans le cas de l’Extrême Maghreb (le Maroc), la période médiévale a constitué le creuset de la symbiose de ces religions.
La récente invitation faite par le Maroc à l’Algérie à mettre en place un « dispositif commun » en vue d’un « dialogue direct et franc » soulève de multiples questions concernant le calendrier de cette initiative, le contexte dans lequel elle s’inscrit et les perspectives qu’elle ouvre.